(...)
Pour parvenir à mobiliser mon immobilité, tout compte-fait, sur quelques autres projets d'écriture,
il me faut, pendant tout un temps, mettre immemory en souffrance
"c'est pas la fin, c'est une pause.
Laissez vos lumières allumées.
J'ai besoin de vous souvenir...et demain je va revenir"
(...)
c'était bien ici, tous les jours ou presque. On patientera. Merci à vous pour toute cette lumière donnée.
Rédigé par : dewige | 18 novembre 2011 à 09:01
c'est dingue ça. 6 ans de vous et pour la deuxième fois, faut que l'on vous attende. Bonne écriture sans nous.
Rédigé par : lise | 17 novembre 2011 à 22:14
et nous, on reste dans le noir, c'est ça ?
pas cool quand même.
la lumière, on l'a trouve où alors ?
bon, reviens vite, dis ?
Rédigé par : missmeteo | 17 novembre 2011 à 13:51
tu vas nous manquer. t'es grave de nous lâcher.
prends soin de toi.
Rédigé par : veronique | 17 novembre 2011 à 08:24
Immemory en souffrance ?
Tes e-lecteurs vont en souffrir !
Mais
"L'invraisemblable est souvent le vrai même"
Alors après la pause, on rembobine.
Et bientôt ; lecture !
Gratte bien.
Laurent
Rédigé par : Laurent | 16 novembre 2011 à 22:50
et l'absence.
encore
Rédigé par : cathie | 16 novembre 2011 à 22:25
vivement ton retour. ça va, c'est vrai, bien nous manquer
Rédigé par : laurence | 16 novembre 2011 à 22:24
Et bien ! ... ? Des projets, évènement plutôt source de bonheur avec une musique d'une telle tristesse ! ? une voix cassée et des mots un peu déchirants. Bon, on va laisser nos lumières allumées ou en veille... puisque.. bon chemin
Rédigé par : Sylvie | 16 novembre 2011 à 14:22
Nous attendrons la fin de la pause ...
Mais nous sommes impatients...
Rédigé par : Namphuong | 15 novembre 2011 à 02:50