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Rédigé à 08:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Txilek elli yi n taburt a Vava Inouva
Je t'en prie père Inouba ouvre-moi la porte
Ccencen tizebgatin-im a yelli Ghriba
O fille Ghriba fais tinter tes bracelets
Ugadegh lwahc elghaba a Vava Inouva
Je crains l'ogre de la forêt père Inouba
Ugadegh ula d nekkini a yelli Ghriba
O fille Ghriba je le crains aussi.
Amghar yedel deg wbernus
Le vieux enroulé dans son burnous
Di tesga la yezzizin
A l'écart se chauffe
Mmis yethebbir i lqut
Son fils soucieux de gagne pain
Ussan deg wqarru-s tezzin
Passe en revue les jours du lendemain
Tislit zdeffir uzetta
La bru derrière le métier à tisser
Tessallay tijebbadin
Sans cesse remonte les tendeurs
Arrac ezzin d i tamghart
Les enfants autour de la vieille
A sen teghar tiqdimin
S'instruisent des choses d'antan
Txilek elli yi n taburt a Vava Inouva
Je t'en prie père Inouba ouvre-moi la porte
Ccencen tizebgatin-im a yelli Ghriba
O fille Ghriba fais tinter tes bracelets
Ugadegh lwahc elghaba a Vava Inouva
Je crains l'ogre de la forêt père Inouba
Ugadegh ula d nekkini a yelli Ghriba
O fille Ghriba je le crains aussi
Tuggi kecment yehlulen
La neige s'est entassée contre la porte
Tajmaât tettsargu tafsut
L'"ihlulen" bout dans la marmite
Aggur d yetran hejben
La tajmaât rêve déjà au printemps
Ma d aqejmur n tassaft
La lune et les étoiles demeurent claustrées
Idegger akken idenyen
La bûche de chêne remplace les claies
Mlalen d aït waxxam
La famille rassemblée
I tmacahut ad slen
Prête l'oreille au conte
Txilek elli yi n taburt a Vava Inouva
Je t'en prie père Inouba ouvre-moi la porte
Ccencen tizebgatin-im a yelli Ghriba
O fille Ghriba fais tinter tes bracelets
Ugadegh lwahc elghaba a Vava Inouva
Je crains l'ogre de la forêt père Inouba
Ugadegh ula d nekkini a yelli Ghriba
O fille Ghriba je le crains aussi
Rédigé à 02:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
"Connaissez-vous l'histoire du comte Dracula ? Qui dormait dans sa tombe et non sur un matelas Du fond de son château, je sens sur moi son oeil Quand je range mon violon dans son petit cercueil. Dans les rues de la ville parmis la multitude Je l'imagine dans son lit de solitude Ce fou romantique rejeté dans les oubliettes Il me semble l'entendre gratter a ma fenêtre. Connaissez-vous l'étrange comte Dracula ? Qui dormait dans sa tombe ou bien la tête en bas Il se relève la nuit pour aller se nourrir Et il ne sait pas se décrire. L'eau du miroir ne lui renvoi pas son reflet Il ignore s'il est beau, il ignore s'il est laid Il porte une cape, il porte une fraise en dentelle, un chapeau démodé Mais il est immortel. Je connais une fille dont le sourire pointu Est plus cruel que celui de Nosferatu Le crucifix qui descend entre ses deux seins Ferait se damner un saint. On se brule les yeux sur sa chevelure blonde Comme s'il on revenait d'une cave profonde Le gout de sa personne comme celui de l'ail Me reste dans la bouche je doute qu'il sans aille. Il sembe que l'amour sois parfois un charme bien pire Que celui que l'on prête au prince des vampires Deux malheureuses piqures dans le cou qui vous grattent Discrète signature du vieil aristocrate. Dans les rues de la ville parmis la multitude Je l'imagine dans son lit de solitude Ce fou romantique rejeté dans les oubliettes Il me semble l'entendre gratter à ma fenêtre."
Rédigé à 23:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Il en est des chansons comme des gens.
Ils arrivent parfois à mettre en marche toute une série de vies...
White winter des Fleet Floxes a ce pouvoir là.
Rédigé à 23:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
(...)
« C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime - de sa tristesse de sa fatigue de sa fragilité de son intensité de vivre de sa joie. "
(...)
Rédigé à 22:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Merci à Annette pour l'envoi par le ciel, de ces photos
Merci à Maman chevalier pour son élan de musical de vie en contagion.
Rédigé à 23:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Merci aux amis d'être là.
Vraiment.Oui, effectivement...
"no death".
Il fallait que je l'entende. Merci
Rédigé à 04:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)